Les meilleures répliques de Kaamelott : Premier Volet
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Les meilleures répliques de Kaamelott : Premier Volet
Arthur : Bon, vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde au cas où quelqu'un approche.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Perceval : Bah quoi ? Oui c’est mon frère, Lamorak.
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Plutôt crever la langue dehors plutot qu’être libéré par mamie dégueu !
Mais colonel à titre aromatique. Je vous l'ai déjà dit, c'est pour le féliciter.
(Guenièvre : vous vous savez pas faire ça, entrainer des troupes… les sièges ? Vous faisiez pas avant ça ?)
Bah oui mais j’entrainais pas des débiles… si j’entrainais des débiles, mais pas des débiles comme ça !
Bah oui mais j’entrainais pas des débiles… si j’entrainais des débiles, mais pas des débiles comme ça !
Perceval : On est pour ainsi dire, les fondateurs de ce qu’on appelle aujourd’hui l’époque Arthurienne.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
La visite en Carmélide, c’est un peu comme les plans de fraises. Plus c’est espacé, mieux c’est !
Argumentum baculinum... l’argument du bâton. Ah ben zut… heu... qui est à la fois correct et à propos. Bon alors du coup on va lui préférer Delenda Carthago, hein… il faut détruire Carthage... qui est juste très con.
Je vous ai déjà expliqué, les gens s'ennuient à votre contact. Du coup, ils ne vous disent rien sur eux. Oui, j'ai une sœur et aussi tout un tas d'autres trucs que j'vois pas l'intérêt de vous confier. Alors arrêtez d'en être surpris.
Aucun souvenir ne me hante risible intrigante à bouclettes.
Kadoc y peut mettre 37 mirabelles dans ses fesses !
Bon bah, Rostan seigneur de Provence… ou alors seigneur Provencal, mais ca fait un peu recette de cuisine. Ou alors... Rostan de Provence mais ca fait un peu nom de village.
En tout cas vous êtes de retour et ca c‘est vraiment une bonne nouvelle. Pour nous tous, bien sur, mais surtout pour le peuple Breton qui alors là commencait sérieusement à tirer la langue. (Arthur : C’est à dire ?) C’est métaphorique. Ils tirent pas littéralement tous la langue. Ils sont au bout du rouleau quoi… c’est pareil y’a pas littéralement un gros rouleau avec des gens au bout qui sont… avec tout au bout des gens…
Votre mari, c'qui lui manque pour être parfaitement lui-même, c'est des nichons.