Les citations
(À Lancelot)On a beau expliquer tout ce qu’on veut expliquer… Au bout d’un moment, pour savoir faire du cheval, il faut faire du cheval !
Ah non, avec les jolies seulement. C’est de là que j’ai conclu que, comme y m’touchait pas, je faisais moi-même partie des grosses mochetés.
[Excalibur] Elle est planté? (Arthur tout a fait.) Bon ben mon petit vieux, vous allez prendre vos cliques et vos claques, et vous allez vous trouver une chambre a l'étage des visiteurs. Moi je suis reine de Bretagne, je dors avec le roi, pas avec un petit bonhomme qui n'as même plus son épée. [...] Je vous signale que je connais parfaitement les lois bretonnes, et que si pour une raison, ou pour une autre, le roi n'est plus roi, c'est la reine qui doit désigner celui qui assumera le pouvoir en son absence. Alors je sais pas encore qui je vais choisir, mais certainement pas vous.
Je voulais savoir pourquoi vous laissiez tous vos chevaliers former des clans séparatistes, alors que l’une de vos plus importantes missions a toujours été de fédérer les clans existants autour de votre royaume et de la quête du Graal ? ... Enfin c'était pas tout à fait ça...
Quand vous étiez roi, vous étiez pas censé faire des cochonneries avec la reine?
(À propos des moutons)
Mais je n'comprends pas, c'est pas des moutons ça ? […] Bah ils sont tout... tout bizarres... […] Tondus ? Oh mon Dieu mais quelle horreur ! Mais pourquoi vous avez fait ça ?!
Mais je n'comprends pas, c'est pas des moutons ça ? […] Bah ils sont tout... tout bizarres... […] Tondus ? Oh mon Dieu mais quelle horreur ! Mais pourquoi vous avez fait ça ?!
(Parlant de la tentative de suicide d'Arthur)
Le sang qui vous manque, moi je l'ai vu, hein. [...] Le sang qui vous manque, je l'ai vu. Je dors avec ma mère maintenant, en Carmélide, toutes les nuits. Parce qu'à chaque fois que je ferme les yeux, je vois tout le sang qui vous manque par terre, avec vos coupures au poignet, et puis vos yeux vides... Alors, vous m'avez jamais avoué que vous vous étiez marié une première fois, hein, mais ça, vous me l'avez laissé voir. [...] Oh si, si, si, si. Y'en a, d'autres, hein, des moyens de se buter. Se jeter du haut d'une falaise, par exemple, ça, ça emmerde personne. Mais vous, c'est pas ça que vous avez fait. Vous vous êtes ouvert les veines dans un bain que j'avais moi-même fait couler.
Le sang qui vous manque, moi je l'ai vu, hein. [...] Le sang qui vous manque, je l'ai vu. Je dors avec ma mère maintenant, en Carmélide, toutes les nuits. Parce qu'à chaque fois que je ferme les yeux, je vois tout le sang qui vous manque par terre, avec vos coupures au poignet, et puis vos yeux vides... Alors, vous m'avez jamais avoué que vous vous étiez marié une première fois, hein, mais ça, vous me l'avez laissé voir. [...] Oh si, si, si, si. Y'en a, d'autres, hein, des moyens de se buter. Se jeter du haut d'une falaise, par exemple, ça, ça emmerde personne. Mais vous, c'est pas ça que vous avez fait. Vous vous êtes ouvert les veines dans un bain que j'avais moi-même fait couler.
Attention, attention… il va y arriver un moment où il y a des granges qui vont se mettre à flamber, faudra pas demander d’où ça vient !
Je vais rentrer mes vaches, là, elles sont accessibles ou faut que je fasse monter un échafaudage ?
Ce que je dis, tout le monde s'en tamponne ! Je gueule, je gueule, j'pourrais gueuler dans le cul d'un poney ce serait pareil !
(À Roparzh) Non mais vous allez faire chier le monde pendant combien de temps vous encore avec vos vaches pourries là, hein ?! Vous voyez pas que vous êtes pas fait pour l’agriculture ?! Hein, vous avez qu’à vous recycler dans la mendicité ! En plus, vous avez… Vous avez déjà la tenue !
Je lui rembourse mes genoux, et si il a filé la vérole à mes bêtes, chuis chuis un marteau moi ! Je crame tout moi ! Ma ferme, la sienne, celles des autres, le château, j'vais flamber la moitié de la Bretagne.
Ces bourgeois, ils savent plus quoi inventer ! A force de lire et d'écrire, ils deviennent tous plus cons les uns qu'les autres.
(À Roparzh) Excusez ! Y a moyen de vous entretenir deux secondes ? [Roparzh : Oui, c'est au sujet de quoi-t'est-ce ?] C'est au sujet que ce matin je suis passé par hasard devant vos enclos, et j'ai vu que vous aviez une jolie p'tite poule blanche ! [Roparzh : Oui, tout à fait !] Une jolie petite poule 'voyez, le bel animal […] C'est au sujet qu'en fait c'est la mienne, et que vous allez prendre un pain dans la tête, mais quelque chose de violent !
(À Roparzh) Vous avez tué ma poule ?! Non mais est-ce que vous êtes pas un peu marteau, vous ? Parce que moi ça y est, j'ai les nerfs qui commencent à vriller ! Je vous montre : moi je bondis comme ça, et je vous arrive dessus en piqué diagonal. Et là c'est l'hymne à la cruauté, hein, un autel dressé au culte de la barbarie !
(À Roparzh) Messieurs dames, dans quelques instants le grand spectacle de la souffrance. Si vous pouvez tâcher moyen de vous éloigner de 25 pieds, bons pieds, hein parce que ça va gicler un peu. !
Vous êtes arrivés dans un fameux merdier ! Des fourches dans le gras du cul, c'est ça que vous allez ramasser comme cadeau de bienvenue !