Les citations
Un village assailli de brigands, une femme qui se fait tabasser, une poule qui boîte, c'est pas les opprimés qui manquent ! Et là au moins, j'aurai l'impression de servir à quelque chose.
Ils ont rien ramené parce que c'est des débiles. Arrêtez d'envoyer Perceval et Karadoc en mission, c'est ridicule !
Vous savez que j'occupe à mi-temps ma place à la Table Ronde, et que l'autre moitié de mon temps je reprends ma place de chevalier errant... Eh bien tout ça, c'est fini. [ARTHUR : C'est-à-dire, vous revenez définitivement ?] Non, je pars définitivement.
Qu'est-ce que vous voulez que je développe ? Vous n'êtes pas de taille à mener la quête du Graal, vous n'avez pas les épaules. De plus comme vous êtes incapable de vous séparer de la bande de pantins ridicules qui vous sert de gouvernement, vous passez pour un faible et un laxiste aux yeux du peuple et des pays voisins, et puis je parle pas des dieux évidemment, ceux-là, s'ils pouvaient parler... […] Et même tout nu et sur un pied, j’irai toujours cent fois plus loin que vous et votre risible compagnie de crétins !
(bohort: L'equilibre du royaume est en péril !) Ça fait longtemps qu'il est en péril l'équilibre ! Ça fait des lustres que je m'échine à le faire tenir debout ! J'abandonne ! Et tirer vous de chez moi avant que je me fâche pour de bon.
Vous allez me lâcher les noyaux, oui ? Y'a pas assez à faire dans ce camp sans venir me les péter toutes les deux minutes ?! Faut forcément que je vous colle un ordre à chaque fois qu'il s'agit de ratisser un tas de feuilles ?! Mettez moi de l'ordre dans ce campement nom d'un chien ! Vous êtes pas à Kaamelott ici ! Je veux pas voir traîner un quignon d'pain c'est compris ?! Revue de détail dans un quart d'heure, allez zou !
Pour tout vous dire, je crois pas que ce soit bon pour mon autorité que mes soldats apprennent que je suis "une grosse pucelle" !
Non, je suis désolé, c'est pas possible ; on se lève pas à midi dans un camp militaire ! Demain matin, celui qui est pas debout à l'aube, je le pends à un arbre, c'est clair ?
Je préfère vous tuer de mes mains plutôt que de vous perdre.
La politique, j’en connais qu’une : un soldat pour trente péquenots et le premier bouseux qui se plaint des taxes, on lui coupe un pied !
[Arthur : De toute façon faudra bien vous y faire parce qu'à partir de maintenant, on va s'appeler Les Chevaliers de la Table Ronde !]
Encore une chance qu'on se soit pas fait construire un buffet à vaisselle, hein !
Encore une chance qu'on se soit pas fait construire un buffet à vaisselle, hein !
[À Bohort] Vous parlez comme les bouquins. Bon, moi, c'est l'idée que j'm'en fais, j'peux pas blairer d'lire.
[Dame Séli : J'ai envie de faire des tartes, voilà. Vous allez pas m'obliger à me justifier !]
Ah bah non, du moment que vous nous obligez pas à les manger !
Ah bah non, du moment que vous nous obligez pas à les manger !
C’est dingue, cette histoire ! C’est pas parce que vous faites des tartes pour des petits-enfants qui existent pas que je dois les emmener à la pêche, si ?!
Sans vouloir la ramener, la seule différence concrète avec des briques, c'est que vous appelez ça des tartes !
Non, mais attendez, vous faites semblant de négocier, tranquille. Pendant ce temps, moi je fais celui qui va pisser, là bas, et quand j'arrive à sa hauteur, tac, je sors ma dague et je l'ouvre en deux par le bas.
J'pense pas que deux trous-du-cul soient plus efficaces qu’un seul !
[À Bohort] Vous êtes marié, comme moi ; vous savez que la monstruosité peut prendre des formes très diverses.