Les citations
Les mômes maintenant, ils lisent, ils lisent, ils lisent et résultat...ils sont encore puceaux à 10 ans...
Je ne reviendrai plus jamais, cette fois je le dis, je le fais, je reste chez moi. Merde. Ça suffit.
Vous êtes chevalier, je suis roi… Je vous demande de venir, vous venez et puis c’est tout !… Je vais pas non plus aller brûler un cierge sous prétexte que vous avez fait un tour de cheval !
Pour faire court, vous êtes ici chez les salopards. C’est admis. On n'a pas des idées bien jojos, et on n’a pas peur de le dire ! On fomente, on renégate, on laisse libre cours à notre fantaisie.
Voilà… Moi de mon coté j'avais parié que vous étiez encore trop branquignole pour savoir c'qui était à vous… Je vois que j’ai encore tapé juste !
Oh Là ! Attendez. Nous ici, on est en train de parler à quelqu’un d’intelligent. Si vous en êtes encore à respecter vos serments, on va couper court, on est tous très occupés.
[À Lancelot] Ah ! À ce propos, je dois vous avouer que j'ai longtemps réflechi à savoir comment vous deviez m'appeler. [...] Éh oui ! Parce que vous êtes pas, à proprement parler, un de mes sujets. Vous êtes pas sous mes ordres non plus. "Sire" c'est quand même un peu ampoulé. Alors j'ai pensé à beaucoup de choses. "Loth", "Seigneur", "Monsieur"... Je me suis même demandé si vous deviez pas m'appeler "vieille branche", "mon p'tit pote" ou "canaillou".
[À Lancelot] Alors là, pareil. J'vais dire une banalité : Ne jamais négliger les bienfaits du couple dans la fonction militaire ; surtout quand on est à poste de décisions. Moi, j'ai toujours mené mes troupes de façon laborieuse et pénible, pourquoi ? Avant tout -faut pas s'le cacher- parce que ma femme est une grosse salope.
Moi, quand ma garce de femme est là, ça déménage pas mal aussi… Hier, elle m’a fendu le tibia avec une amphore, la salope !
Victoriae mundis et mundis lacrima. Bon, ça ne veut absolument rien dire, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
Quand on veut être sûr de son coup, Seigneur Dagonet… on plante des navets. On ne pratique pas le putsch.
(À Venec) C'est un style que vous vous donnez d'être à moitié cul nu ? [...] Remarquez ça change. Et puis ça désacralise le guet-apens.
Vous, vous êtes un peigne-cul en toutes circonstances. N'importe qui vous pousserait à n'importe quoi pourvu qu'il parle un peu fort
Non, c'est moi qui y suis pour quelque chose. Le coup d'État, c'est moi ! Le clan séparatiste, c'est moi ! Et d'une manière générale j'ai un lien plus ou moins direct avec tout ce qui se manigance de vicelard en Bretagne depuis ces trente dernières années, ça tout le monde le sait. Ce qu'on sait moins en revanche, c'est la raison qui me pousse à faire tout ça... [Arthur : Oui je vous écoute, qu'est ce qui vous pousse à faire tout ça?] L'amour ! Que je porte à ma femme, à votre sœur. [Arthur : Demi sœur!] Personne ne vous déteste plus qu'elle dans tout le royaume sire. Et moi, pauvre fou d'amour esclave de ses yeux, je ne cherche qu'à contenter ses désirs de vengeance. Me commanderait-elle de venir attaquer vos armées seul contre un million, je le ferai sans réfléchir. Alors quand cette salope a su que Lancelot organisait une armée séparatiste, elle m'a ordonné de m'associer à lui et de lui filer du pognon. Et moi, pauvre bête dressée, je me suis lâchement exécuté. Misa brevis et spiritus maxima. Ça veut rien dire, mais je suis très en colère contre moi même.
C’est allé relativement vite, mais il a quand même fallu que je m’y reprenne à deux fois… J’l’avais pourtant étranglé pendant cinq bonnes minutes, le fumier, il était bleu outre-mer avec une jolie langue gonflée comme une escalope de dinde, et pourtant croyez-moi si vous voulez, il respirait encore la vieille carne. Et, je sais pas si c’est cette respiration paniquée et sifflotante, ou alors si c’est le fait qu’il me fixait avec de grands yeux rouges - parce que tous les vaisseaux avaient pété - mais je me suis senti un peu déstabilisé. Alors j’lui ai bourré la bouche avec un linge trempé dans de l’huile de lampe et j’ai foutu le feu. Bah ça répond à votre question du coup : oui, c’est allé assez vite.
Oui mais, quand je reste trop dans ma baraque, je conspire, c’est un réflexe. Du coup, je prends l’air, ça vaut mieux pour tout le monde.
Ah, mais c’est pas possible, ça ! J’ai pas envie, de participer ! À rien ! C’est pas mon genre, de participer ! Jamais je participerai ! À part à vos obsèques, bande de cons !
Mais ils sont tous plus débiles les uns que les autres ces pigeons. Les nôtres quand on les envoie à Kaamelott on se les fait systématiquement ramener par la vieille de la ferme d'à coté ![...] ça s'adresse à personne, les pigeons sont cons, point !
(A Galessin : "Le rapport entre quoi et quoi ?") Entre Excalibur et le fromage gratiné. Réponse: Aucun. C'est une métaphore moisie tiraillée entre votre stupidité d'ordre général et votre surprenante inaptitude à utiliser les métaphores...
(A Dagonnet : Attendre... Attendre que les choses se désagrègent d'elles mêmes. Attendre que Kaamelott tombe en lambeau patiemment, pierres après pierres, chevaliers après chevaliers.
Attendre et se tenir prêts, prêts à se faufiler dans le moindre interstice "Ferme bien tes portes Arthur !" et là je suis en adresse directe pour créer un pallier d'intensité "Ferme bien tes portes Arthur ! Car nous essaierons toutes les issues! Et si par mégarde.." et là j'enchaîne sur une métaphore prédatrice "Si par mégarde tu oublies la petite lucarne, le renard saura se faire assez mince pour y passer !" Et là normalement il faut une citation latine mais Pfff.. J'en ai marre!
Attendre et se tenir prêts, prêts à se faufiler dans le moindre interstice "Ferme bien tes portes Arthur !" et là je suis en adresse directe pour créer un pallier d'intensité "Ferme bien tes portes Arthur ! Car nous essaierons toutes les issues! Et si par mégarde.." et là j'enchaîne sur une métaphore prédatrice "Si par mégarde tu oublies la petite lucarne, le renard saura se faire assez mince pour y passer !" Et là normalement il faut une citation latine mais Pfff.. J'en ai marre!