Les citations
Les placards sont fermés ! Vous allez retourner dans votre canfouine, au trot, et si la faim persiste, mangez des moustiques : c'est nourrissant, ça coûte rien, et ça débarrasse !
Des fuites ? Apprenez qu'avec le budget bouffe de Kaamelott, y'a de quoi lever une armée parallèle et envahir la moitié du monde connu.
(Au Père Blaise) Jouez pas au con ! Dans votre branche, on fait pas vœu de bouffer léger, quelque chose comme ça ?
(À Arthur, Léodagan et au Père Blaise) Je vais vous la faire à la cantonade dans le genre tragédie grecque, tâchez de vous partager ça au mieux : LA BOUFFE EST INTERDITE EN DEHORS DES HEURES DES REPAS !!!
Les reines, y en a deux sortes : les chefs d'état et les gourdasses. Je vous le dis tout de suite, notre fille fait partie de la deuxième catégorie.
Tout le monde le sait, en Carmélide, que vous êtes une patate. Seulement, ça passe parce que les gens savent que c'est moi qui tire les ficelles dans l'arrière boutique.
Je vous préviens, la matinée a eu sa bonne dose de pignoufs, je suis plus que crevée... Alors je préconise un déjeuner dans le calme.
(À Merlin) Le jour où vous serez à même de comprendre les rouages d'une monarchie, on aura soin de venir vous demander votre avis. En attendant, vous faites ce qu'on vous dit, ET VOUS LA BOUCLEZ !
(À Merlin) Soit vous fabriquez séance tenante une potion de fécondité qui fonctionne mieux que vos flacons de pisse habituels, soit mon mari ici présent se fera un plaisir d'outrepasser la hiérarchie et de vous mettre une trempe maison !
(À Léodagan) PIGNOUUUUF! (Puis à Elias et Merlin) Bon, et nous alors, qu'est-ce qu'on fait ? On traite ou on se fâche ? [Merlin : On se fâche. - Elias (à Merlin) : On traite !]
(À Ygerne et Cryda) C'est des tartes dans le museau qu'elles cherchent, les sœurs Tape-Dur ?
(À Ygerne et Cryda) C'est qu'elles nous accuseraient de conspiration, les siamoises !
(À Yvain et à Guenièvre) Si les dieux avaient dû être de notre côté, ils nous auraient pas refilé des enfants comme vous.
(À Guenièvre) Votre petit train-train quotidien de reine de Bretagne. Quand je pense à toutes les pécores qui se couperaient les mains pour avoir le tiers de vos soucis, ma pauvre !
(Toujours à Guenièvre) Si vous préférez retourner dans votre cabane de trappeur avec votre dégénéré de Lancelot, libre à vous !
(Encore à Guenièvre) Nous aussi, on vous aime. A partir du moment où vous gardez vos miches sur le trône et où vous foutez pas l'camp dès qu'un blondinet vous fait d'l'œil.
(À Guenièvre) Bohort il a une femme ! Vous pouvez me la refaire sans trembler des genoux celle-là ?
(À Bohort) Ben voyons, mon colon ! [Guenièvre (à Bohort aussi) : Bon, eh bien vous lui transmettrez notre bon souvenir] (toujours à Bohort, pour se moquer de lui) C'est ça, et pendant que vous y êtes, vous lui ferez un massage de la voûte plantaire. [Bohort (naïvement) : Je n'y manquerai pas.]
Y a pas si longtemps vous aviez un enchanteur qui s’appelait Merlin. Vous vous souvenez? A force d’être traité comme une sous-merde il a foutu le camp, et bah ça ça fait partie des trois bricoles qu’il a pas prises avec lui. C’est des abricots vieux de trois ans, conservés selon un processus qu’il a inventé et dont il a jamais pu vous parler, parce que vous aviez pas le temps!