Les citations
(Karadoc: Vous entendez quelque chose ?)
Y'a un type avec une voix de con qui vient de dire "vous entendez quelque chose ?"
Y'a un type avec une voix de con qui vient de dire "vous entendez quelque chose ?"
Arthur : Bon, vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde au cas où quelqu'un approche.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
(Guenièvre : vous vous savez pas faire ça, entrainer des troupes… les sièges ? Vous faisiez pas avant ça ?)
Bah oui mais j’entrainais pas des débiles… si j’entrainais des débiles, mais pas des débiles comme ça !
Bah oui mais j’entrainais pas des débiles… si j’entrainais des débiles, mais pas des débiles comme ça !
Alors, je vais être honnête avec vous, je ne suis pas friand de voyages nautiques. Rien qu'à l’idée de m’être farci onze jours de mer à vous courir après pour des dattes...
(S’adresse à un membre d’équipage) Rechargez s'il vous plaît. C'est triste, mais de toute évidence ça va servir.
(S’adresse à un membre d’équipage) Rechargez s'il vous plaît. C'est triste, mais de toute évidence ça va servir.
Venec le Fennec. Alors, on se reconvertit dans le fret maritime ?
Non mais s’il te plait je ne les connaît pas ces glands. Je leur paie mon voyage, terminé !
(Regarde les autres membres d’équipage) Tu crois quoi ? Que je vais me battre pour vos tronches ? J’en ai rien à foutre de vous moi.
(Regarde les autres membres d’équipage) Tu crois quoi ? Que je vais me battre pour vos tronches ? J’en ai rien à foutre de vous moi.
Vous voulez une balle ?
(Arthur : Non, moi je veux rien, je veux pas jouer déjà)
Vous pouvez jouer avec une balle ca change rien ca, ce qui compte c’est les points.
(Arthur : Non, moi je veux rien, je veux pas jouer déjà)
Vous pouvez jouer avec une balle ca change rien ca, ce qui compte c’est les points.
Perceval : Bah quoi ? Oui c’est mon frère, Lamorak.
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Halte là, manants de bon conseils ! Rebroussez malice à l’instant où il vous en cuira. A l’étuvée.
Arthur : Vous voulez dire que si j’avais mis une quiche dans les noyaux d’un de ces cons là dès le début on aurait gagné tout de suite ?
Perceval : Non sire, Robobrole c’est pas une simple quiche.
Perceval : Non sire, Robobrole c’est pas une simple quiche.
Perceval : On est pour ainsi dire, les fondateurs de ce qu’on appelle aujourd’hui l’époque Arthurienne.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
Tout ça pour dire que vos visites sont rares. Notez qu’on s’en plaint pas.
La visite en Carmélide, c’est un peu comme les plans de fraises. Plus c’est espacé, mieux c’est !
Si j’ai bien compris ce que je crois avoir bien compris, on a un coup de maître à jouer. Faites une offrande à Mercure et prenez un calbar de rechange, on dégage !
Si je dis ça ne me dit rien, c’est que ça ne me dit rien. Note bien que si ça me disait je t’enverrai chier tout pareil. Tu vois je suis honnête. Alors maintenant toi et tes acrobates vous remontez dans votre barquette et vous décarrez. Il vous faut du bâton dans la gueule pour amorcer le mouvement ?
Un gars pas bien grand, blanc comme un cul, avec des grosses balafres aux poignets et une barbe tellement longue qu’il aurait pu se torcher avec ! Non ?
Bon reconnaissons que la perspective d’etre suspendu par les noyaux constitue un bel encouragement à se bouger le cul.
Argumentum baculinum... l’argument du bâton. Ah ben zut… heu... qui est à la fois correct et à propos. Bon alors du coup on va lui préférer Delenda Carthago, hein… il faut détruire Carthage... qui est juste très con.
On est pas tellement des gens de terrain. Pas des cerveaux non plus, me faites pas dire ce que j’ai pas dit.
Retrouvez-le… Retrouvez-le où je vous fait tous pendre par les parties !