Les citations de Perceval de Galles
Les citations de Perceval de Galles
Par contre pas un mot là, sinon la porte. Bon là y en a pas, mais ce n'est pas la première fois qu'on fabrique une porte à la dernière minute pour virer un petit trou de balle qui fait son malin.
Progressif... N'oubliez pas, dans la casse, le plus important, c'est les suites d'épaisseurs ... Bûche de 10, Bûche de 16; Bûche de 32, Bûbûche, Bibuchette, et re-Bûche de 6 !!!
On a une autorité naturelle, il faut en profiter... J'suis sûr que même à poil on ferait toujours chef !
(En parlant de Dame Mevanwi) Ouais ouais ben j'suis pas trop. Sauf que quand on fait des choix il faut les tenir un minimum. Et ça change de chambre et ça change de mari...
(Dame Mevanwi : Mais mêlez vous de vos fesses !)
Ouais ouais ouais ! Il faudrait peut-être commencer par se comporter en adulte !
(Dame Mevanwi : Mais mêlez vous de vos fesses !)
Ouais ouais ouais ! Il faudrait peut-être commencer par se comporter en adulte !
Votre femme, si j'avais pas la flemme de descendre de là, elle aurait pris mon pied dans son cul depuis un moment. Parce y'a un truc qu'on oublie quand on parle de retirer Excalibur : c'est le respect au Roi Arthur! Et le respect au Roi Arthur je remarque que Madame en avait un peu plus quand elle était dans son PLUMARD !!
Non mais Sire, faut pas prendre ce qu'on dit au sérieux, vous savez bien qu'on est des cons, nous.
Allez, y'a plein de bruit, là ! Si ça se trouve c'est bourré d'oiseaux venimeux. Y'en a des rouges, des jaunes, des re-rouges et des pourpres ! Y bouffent que des noisettes et des escalopes de veau. Et quand ils vous donnent un coup de bec vous voyez une grande lumière et ça vous donne la diarrhée !
(à Arthur) Ouais en même temps ça vous a prouvé qu'on avait pas froid au ventre !
(Arthur : aux yeux!)
Comment ?
(Arthur : Aux yeux, pas froid au ventre.)
(Karadoc : Froid aux yeux ? Comment c'est possible ça ?)
Ben si, à la limite avec du vent… mais bon si on a froid aux yeux on les ferme !
(Arthur : aux yeux!)
Comment ?
(Arthur : Aux yeux, pas froid au ventre.)
(Karadoc : Froid aux yeux ? Comment c'est possible ça ?)
Ben si, à la limite avec du vent… mais bon si on a froid aux yeux on les ferme !
Nan mais je l'ai déjà impressionné, moi ! Je lui ai expliqué une nouvelle technique de combat : on se bat à moitié à mains nues, et à moitié avec du calcium. J'peux vous dire il faisait moins le malin !
(à Arthur qui vient de lui raconter longuement un rêve)
C'est vraiment chouette comme rêve... Moi l'autre nuit j'ai rêvé que Karadoc avait des pinces...
Arthur : (confus) C'est-à-dire?
Comme un crabe...
Arthur : Ah? Et qu'est-ce qu'il faisait avec ses pinces?
Il me pinçait le ménisque.
Arthur :(interloqué) Le ménisque?
Comparés aux vôtres, ils sont pourris mes rêves, ou pas?
C'est vraiment chouette comme rêve... Moi l'autre nuit j'ai rêvé que Karadoc avait des pinces...
Arthur : (confus) C'est-à-dire?
Comme un crabe...
Arthur : Ah? Et qu'est-ce qu'il faisait avec ses pinces?
Il me pinçait le ménisque.
Arthur :(interloqué) Le ménisque?
Comparés aux vôtres, ils sont pourris mes rêves, ou pas?
La patience est un plat qui se mange sans sauce.
(Karadoc: Vous entendez quelque chose ?)
Y'a un type avec une voix de con qui vient de dire "vous entendez quelque chose ?"
Y'a un type avec une voix de con qui vient de dire "vous entendez quelque chose ?"
Arthur : Bon, vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde au cas où quelqu'un approche.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Vous voulez une balle ?
(Arthur : Non, moi je veux rien, je veux pas jouer déjà)
Vous pouvez jouer avec une balle ca change rien ca, ce qui compte c’est les points.
(Arthur : Non, moi je veux rien, je veux pas jouer déjà)
Vous pouvez jouer avec une balle ca change rien ca, ce qui compte c’est les points.
Perceval : Bah quoi ? Oui c’est mon frère, Lamorak.
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Perceval : On est pour ainsi dire, les fondateurs de ce qu’on appelle aujourd’hui l’époque Arthurienne.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal. Car il est avec moi.
Evidemment qu’il est pas mort ca fait dix ans que je vous le dit gros salsifis !
Plutôt crever la langue dehors plutot qu’être libéré par mamie dégueu !
(Mevanwi : il a changé)
Alors que vous non, toujours moche !
Alors que vous non, toujours moche !