Les citations de Karadoc
Là, y’a les méduses, les insectes. Là, y’a les glandus, les grouillots. Là, y’a les mecs normaux. Là, y’a les chevaliers. Là, y’a les rois et les princes. Et après, bien au-dessus, y’a le Roi Arthur. Vous, vous aurez eu deux bonhommes dans votre vie, eh ben vous pourrez dire que vous avez tapé dans l’exception.
Arthur : Bon, vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde au cas où quelqu'un approche.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Perceval : Bah quoi ? Oui c’est mon frère, Lamorak.
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Perceval : On est pour ainsi dire, les fondateurs de ce qu’on appelle aujourd’hui l’époque Arthurienne.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
J’ai des hallucinations à cause de la diète !