Les citations de Karadoc
Les citations de Karadoc
Cette histoire de Graal, ça a assez traîné ! […] Si c’est pas moi qui prend les choses en main, on y est encore dans cent piges… […] Préparez la fiesta, j’suis un héros !
Parce que d'un point de vue santé publique, il vaut mieux bouffer ça une fois par mois que de la merde tous les jours. Je vais vous dire, à ce niveau là, c'est plus de la gastronomie, c'est de l'érotisme.
La joie de vivre et le jambon, y'a pas trente-six recettes du bonheur !
Parce que mon couteau pour le pâté, euuh, y'a rien à faire, jm'en tape.
Lorsqu'on le tient par la partie sporadique, ou boulière, le fenouil est un objet redondant.
Tout à l’heure, on a vu que le chapelet de saucisses n’était pas un objet redondant. Et pourtant, on a pu lui trouver une utilisation périmétrique en s’en servant comme un fouet.
Là, y’a les méduses, les insectes. Là, y’a les glandus, les grouillots. Là, y’a les mecs normaux. Là, y’a les chevaliers. Là, y’a les rois et les princes. Et après, bien au-dessus, y’a le Roi Arthur. Vous, vous aurez eu deux bonhommes dans votre vie, eh ben vous pourrez dire que vous avez tapé dans l’exception.
Allez, faites-vous belle, que j'me pointe avec la came présentable.
Ma femme… mon ex-femme… C’était peut être un peu moins prestige parce qu’elle est pas reine… mais au moins, elle habitait pas à six heures de marche avec un autre mec.
C'est pas que c'est difficile de la récupérer... C'est que c'est sa mère difficile de la récupérer, la race de sa grand-mère !
Vous dites pas : « Qu’est ce qu'il fait chaud… », vous dites : « La chaleur est un plat qui se mange froid. »
Quand je pense à la chance que vous avez de faire partie d'un clan dirigé par des cerveaux du combat psychologique, qui se saignent... aux quatre parfums du matin au soir ! !
[Perceval: Si vous foutez tout en l'air, on vous envoie notre assassin, ça va pas traîner.]
Ouais. Ou alors le mec qu'on dirait qu'il marche normalement mais en fait il marche alternativement à cloche-pied sur chaque pied.
Ouais. Ou alors le mec qu'on dirait qu'il marche normalement mais en fait il marche alternativement à cloche-pied sur chaque pied.
Arthur : Bon, vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde au cas où quelqu'un approche.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Karadoc : approche sur le chemin ?
Arthur : Vous faites deux cents pas sur le chemin et vous montez la garde.
Perceval : et si y’a personne qui approche, on revient ?
Arthur : Non vous montez la garde.
Perceval : Bah quoi ? Oui c’est mon frère, Lamorak.
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Karadoc : M’enfin, comment c’est possible qu’on ai jamais vu son pif à votre frère ?
Perceval : C’est pas un frère, c’est un débile.
Karadoc : Mon frère aussi c’est un débile sauf que vous le connaissez
Perceval : Justement, on a déjà le votre, on va pas faire un élevage. Sire, on le bousille ?
Perceval : On est pour ainsi dire, les fondateurs de ce qu’on appelle aujourd’hui l’époque Arthurienne.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
Karadoc : Avant nous y’avait rien
Perceval : On a remis toute la Bretagne sur pieds : la marine, l’industrie du métal, le commerce des épices…
Karadoc : Avant, une coupure au pied, vous pourrissiez en quatre jours. Sous Arthur vous étiez pris en charge
Perceval : Sept cent cinquante mille centres d’accueil.
J’ai des hallucinations à cause de la diète !