Les citations
Mais vous êtes une grosse morue!
Une nuit, une nuit à attendre... Une longue nuit avant de savoir si le souverain ennemi acceptera un traité de paix, si fragile, si friable qu'on aurait même de la peine à le prendre au sérieux. Des solutions précaires, du rafistolage, voilà tout ce que j'ai su inventer. La Bretagne résistait quand je suis arrivé, elle résistera encore quand je partirai. Je ne saurais dire pourquoi, je conserve encore, rescapée de mon découragement, une curiosité : existe t-il quelqu'un parmi nous déjà - ou encore à naitre - qui se destine à restaurer l'ordre sur l'île de Bretagne? Et s'il existe, que peut-il bien posséder que je ne possède moi-même ? D'où vient-il ? Est-il romain ? Quelle arme tient-il à sa ceinture ? Celui qui vaincra là où j'ai échoué, je voudrais voir son visage une fois, car je lui conserve encore, rescapé de mon découragement, ma curiosité.
C'est tout ? Treize ans qu'ils me laissent pourrir sur pied, dans ce pays de merde ! Treize ans ! Maintenant ils m'envoient un message, il faut que je rentre chez moi !
[...] Mais qu'est ce qui leur fait croire que ça existe encore chez moi ?!! Est-ce qu'un type qui a foutu le camp treize ans peut encore avoir un chez soi ? C'est complètement absurde...
[...] Mais qu'est ce qui leur fait croire que ça existe encore chez moi ?!! Est-ce qu'un type qui a foutu le camp treize ans peut encore avoir un chez soi ? C'est complètement absurde...
Oh c'etait trop triste ce qu'il y avait dedans. Ça donnait une fausse image de moi. Parce que je suis d'un naturel rieur. D'après ma grand-mère en Macédoine, quand j'avais deux ans, j'étais blond, bouclé, et je souriais a tout le monde. Même aux étrangers. Toi par exemple, si tu m'avais connu quand j'avais deux, ans je t'aurai sûrement souris. Tu sais, comme j'ai détruit les tablettes, tu tombera peut-être sur des gens qui voudront savoir comment j'étais. Dis leurs ça: blond, bouclé, toujours le sourire aux lèvres. Blond, bouclé, toujours le sourire aux lèvres. Toujours le sourire aux lèvres.
Je voudrais, pour une fois dans ma vie, ne pas avoir l’impression de dormir dans un chenil ! […] Karadoc, soit vous montez dans ce bain, soit vous me perdez.
Selon Karadoc, un lit n’est pas un lit s'il n’y a pas de quoi manger une semaine dedans sans en sortir.
Une fois j'ai dormi avec un porc pendant une semaine. [Arthur: Un porc entier?]
Un porc vivant.
Un porc vivant.
Je tiens à dire à monsieur que je suis vraiment pas contente! J’ai longuement parlé avec mes collègues et d’après ce que j’ai compris vous avez fait des cochonneries avec presque toutes!
Monsieur va me faire le plaisir d'avaler son petit déjeuner et de s'occuper un peu de moi!
Regarde, vois ! Cette glorieuse cité cosmopolite, regarde. Carrefour des civilisations, hôtesse orgueilleuse de peuplades fascinées, regarde. On nous reproche assez qu’il n’existe plus de vrais Romains, hein ? Hein ? Allez trouve un Breton, trouve.
Ca y est ! C’est leur dernière saison aux débiles. Tu peux préparer les outils, on passe directement de la discussion à la désintégration.
(Capito : Les quatre en une seule fois, vous avez pas peur que ça soit un peu voyant non ?) Rien à foutre ! Tu peux même les crucifier sur une estrade au milieu du forum si ça te chante, c’est moi qui paye l’orchestre.
Je vais poser une question simple : et vous, vous le méritez ? Ah non mais attendez, est-ce que vous le méritez, est-ce que vous méritez votre place ?! Lurco ! Tu devais aller en Germanie... c'est ta tante qui t'a fait entrer au sénat ! Pisansius ! Pas une seule année dans la légion, pas une seule ! J'm...e demande même parfois si t'as déjà tenu une arme dans ta vie... Destisius ! C'est ton père qui a donné la moitié de ses terres pour que quelqu'un puisse prendre ta place en Afrique... C'est vrai ou c'est pas vrai ? Vous êtes tous des planqués, tous, tous, tous, tous , tous. [...] Vous allez me signer cette tablette, parce que le p'tit mérite largement son grade autant que vous vous méritez votre place au Sénat... Largement.
C'est vrai que, dans votre position, il y a plus de chance de subir un siège plutôt que d'en organiser un.
Je suis assez grande pour voir que si vous achetez des troncs d'arbres à ce prix-là, vous êtes en train de vous faire enfler !
Vous croyez quoi ? Que ça s'trouve dans l'cul des poules, le fric ?
(à Arthur, en le secouant) NON MAIS VOUS ALLEZ FAIRE VOTRE BOULOT, OUI ? (elle lui donne une claque, puis l'air de s'excuser) J'suis enceinte... J'suis enceinte !...
Quand je vais raconter à mon oncle combien vous raquez pour vos béliers pourris, il va bien se marrer !
Quoi ? Qu'est-ce qu'y a ? On cherche la marave ?
Oh allez, mon pote ! Fais un effort ! Dans dix minutes, t'es pendu et on n'en parle plus.