Les citations de Loth d’Orcanie
Les citations de Loth d’Orcanie
Citations par saison
- Kaamelott premier volet 3 citations
- Livre III 4 citations
- Livre IV 8 citations
- Livre V 24 citations
- Livre VI 13 citations
(A Galessin : "Le rapport entre quoi et quoi ?") Entre Excalibur et le fromage gratiné. Réponse: Aucun. C'est une métaphore moisie tiraillée entre votre stupidité d'ordre général et votre surprenante inaptitude à utiliser les métaphores...
(A Dagonnet : Attendre... Attendre que les choses se désagrègent d'elles mêmes. Attendre que Kaamelott tombe en lambeau patiemment, pierres après pierres, chevaliers après chevaliers.
Attendre et se tenir prêts, prêts à se faufiler dans le moindre interstice "Ferme bien tes portes Arthur !" et là je suis en adresse directe pour créer un pallier d'intensité "Ferme bien tes portes Arthur ! Car nous essaierons toutes les issues! Et si par mégarde.." et là j'enchaîne sur une métaphore prédatrice "Si par mégarde tu oublies la petite lucarne, le renard saura se faire assez mince pour y passer !" Et là normalement il faut une citation latine mais Pfff.. J'en ai marre!
Attendre et se tenir prêts, prêts à se faufiler dans le moindre interstice "Ferme bien tes portes Arthur !" et là je suis en adresse directe pour créer un pallier d'intensité "Ferme bien tes portes Arthur ! Car nous essaierons toutes les issues! Et si par mégarde.." et là j'enchaîne sur une métaphore prédatrice "Si par mégarde tu oublies la petite lucarne, le renard saura se faire assez mince pour y passer !" Et là normalement il faut une citation latine mais Pfff.. J'en ai marre!
Vous entendez ça ? Il parait que je suis malpoli ! Qu'est-ce que vous en pensez bande de trous-du-cul ?
Moi, après deux heures de retard, j'ai passé le cap de l'agacement. Le peu de volonté que j'avais de me farcir une réunion avec ce débile de Dagonet a définitivement disparu. Je suis une sorte de meuble.
[À Galessin] Mais parce que votre existence est merdique mon pauvre ami, vous avez l'œil qui brille à chaque fois qu'un oiseau pète, c'est triste à voir. Ça fait des années que vous menez un train de vie de noix de St-Jacques, alors évidemment, un message qui annonce la visite d'un imbécile porteur de bonnes nouvelles, c'est déjà un petit festival pour vous ! J'suis sûr que vous vous êtes peigné pour l'occasion !
Euh, "Vous êtes là.", c'est-à-dire qu'il est surpris lui-même, ça lui viendrait pas à l'idée de raccorder le fait qu'on est là avec le fait qu'il nous l'a demandé.
Moi c'est comme vous sentez, j'ai eu deux heures à vide, c'est pas si souvent, je pense que j'en ai inconsciemment profité pour dresser un petit bilan.
J'ai soudain la sensation limpide d'avoir gaspillé ma jeunesse... L'avoir vue s'échapper de mes mains comme l'anguille effrayée et m'appeler à présent sur le lierre du tombeau, où patientent depuis toujours le chant des enfants, les raisins volés…
Je vais y aller, de jour, devant tout le monde. Et si je deviens roi de Bretagne, je vous nomme respectivement ministre des armes, et responsable de la protection des frontières. Parce que mon destin, c'est de m'entourer de nuls, de vrais nuls… Timeo libri rex agitur, ça veut rien dire, mais c'est ce que j'ai trouvé de plus… aigre !
(À Arthur) Avant de vous lancer dans les excès de virilité, vous auriez la curiosité de jeter un œil à la table du fond. Je suis venu avec quelqu'un qui veut vous parler... [Tavernier : Qu'est ce qu'on fait la?] Rien, y faut surtout pas s'en mêler. Comme quand deux chats sauvages se retrouvent sur le même terrain. Y s'observent et aucun des deux ne baisse le regard sous peine d'être saigné à blanc. Ce qui couperait court c'est qu'il y en ait un plus faible que l'autre, mais là c'est pas le cas. C'est les deux même sales bestioles, inflexibles, indomptables et vivaces. Y tiennent ça de leur mère! [Tavernier : De leur mère? vous voulez dire que c'est sa sœur ?][Arthur et Anna : Demi-sœur!] Ah! ça cause. Le dialogue s’amorce. Peut être que vous vous ferez pas dévaster votre boui-boui.
(À Anna) j'aime autant vous dire que quand une bande de détrousseurs embusqués nous tombera sur la viande, et qu'il lui prendra le goût de vous passer dessus en file indienne, je lèverai pas le petit doigt.
[À Léodagan] Écoutez, comme ça a priori, ça m'évoque rien, mais honnêtement c'est possible. Ce serait assez le genre de la maison, en tout cas ! De l'autre côté, voyez un peu l'ironie, si j'avais pas fomenté une attaque par l'ouest, vous seriez allés vous écraser contre les Romains à l'est !
Oui, alors, pourquoi ? Pourquoi trahir sans arrêt les gens avec qui je collabore ? Je dirais que c'est probablement une réponse compulsive à une crainte de m'attacher. Briser une relation plutôt que la cultiver pour ne pas se retrouver démuni face au bonheur. Oui, pour répondre à votre question : j'ai peur d'aimer !
Oui, alors, pourquoi ? Pourquoi trahir sans arrêt les gens avec qui je collabore ? Je dirais que c'est probablement une réponse compulsive à une crainte de m'attacher. Briser une relation plutôt que la cultiver pour ne pas se retrouver démuni face au bonheur. Oui, pour répondre à votre question : j'ai peur d'aimer !
[Aux rois de Logres] Bon. Ca c'est bien gentil mais… À quel moment on trahit ?
Ah voilà ! Et c'est là le danger de la métaphore... si on parle avec des gros tas de bidoches, au bout de cinq minutes personne ne parle de la même chose!
Si on cueille pas les cerises tant qu'elles sont sur l'arbre, on fera tintin pour le clafoutis.
Moi les premières années avec ma femme, je faisais ces conneries aussi. Une réunion hebdomadaire pour régler les problèmes avant qu'ils ne s'enveniment. Résultat aujourd'hui, quand elle tombe sur moi dans les couloirs de la maison, elle a des remontées gastriques, elle me trouve laid et con, et elle essaie de me tuer trois fois par semaine. Euh depuis les tables rondes, j'y crois plus beaucoup...
(À propos des biscuits de la marraine du roi d'Armorique) Ils sentent la pisse, aussi.
Deus minimi placet : seul les dieux décident.
[À Galessin] Soyons futés. [...] Non... mais pas vous ! Vous, vous pouvez rester tsoin-tsoin comme d'habitude.
Votre salope de fille m'a renversé une pleine soupière de bouillon sur toute la zone génitale, ça m'a LITTÉRALEMENT cuit les boules ! Vous remarquerez à quel point il m'est égal de parler de mes noix à ma belle-mère, famille de tarés !