Les citations de Loth d’Orcanie pour la saison Livre V
Les citations de Loth d’Orcanie pour la saison Livre V
Citations par saison
- Kaamelott premier volet 3 citations
- Livre III 4 citations
- Livre IV 8 citations
- Livre V 24 citations
- Livre VI 13 citations
- Voir toutes les citations 52 citation
Quand on veut être sûr de son coup, Seigneur Dagonet… on plante des navets. On ne pratique pas le putsch.
(À Venec) C'est un style que vous vous donnez d'être à moitié cul nu ? [...] Remarquez ça change. Et puis ça désacralise le guet-apens.
Vous, vous êtes un peigne-cul en toutes circonstances. N'importe qui vous pousserait à n'importe quoi pourvu qu'il parle un peu fort
Non, c'est moi qui y suis pour quelque chose. Le coup d'État, c'est moi ! Le clan séparatiste, c'est moi ! Et d'une manière générale j'ai un lien plus ou moins direct avec tout ce qui se manigance de vicelard en Bretagne depuis ces trente dernières années, ça tout le monde le sait. Ce qu'on sait moins en revanche, c'est la raison qui me pousse à faire tout ça... [Arthur : Oui je vous écoute, qu'est ce qui vous pousse à faire tout ça?] L'amour ! Que je porte à ma femme, à votre sœur. [Arthur : Demi sœur!] Personne ne vous déteste plus qu'elle dans tout le royaume sire. Et moi, pauvre fou d'amour esclave de ses yeux, je ne cherche qu'à contenter ses désirs de vengeance. Me commanderait-elle de venir attaquer vos armées seul contre un million, je le ferai sans réfléchir. Alors quand cette salope a su que Lancelot organisait une armée séparatiste, elle m'a ordonné de m'associer à lui et de lui filer du pognon. Et moi, pauvre bête dressée, je me suis lâchement exécuté. Misa brevis et spiritus maxima. Ça veut rien dire, mais je suis très en colère contre moi même.
C’est allé relativement vite, mais il a quand même fallu que je m’y reprenne à deux fois… J’l’avais pourtant étranglé pendant cinq bonnes minutes, le fumier, il était bleu outre-mer avec une jolie langue gonflée comme une escalope de dinde, et pourtant croyez-moi si vous voulez, il respirait encore la vieille carne. Et, je sais pas si c’est cette respiration paniquée et sifflotante, ou alors si c’est le fait qu’il me fixait avec de grands yeux rouges - parce que tous les vaisseaux avaient pété - mais je me suis senti un peu déstabilisé. Alors j’lui ai bourré la bouche avec un linge trempé dans de l’huile de lampe et j’ai foutu le feu. Bah ça répond à votre question du coup : oui, c’est allé assez vite.
Oui mais, quand je reste trop dans ma baraque, je conspire, c’est un réflexe. Du coup, je prends l’air, ça vaut mieux pour tout le monde.
Ah, mais c’est pas possible, ça ! J’ai pas envie, de participer ! À rien ! C’est pas mon genre, de participer ! Jamais je participerai ! À part à vos obsèques, bande de cons !
Mais ils sont tous plus débiles les uns que les autres ces pigeons. Les nôtres quand on les envoie à Kaamelott on se les fait systématiquement ramener par la vieille de la ferme d'à coté ![...] ça s'adresse à personne, les pigeons sont cons, point !
(A Galessin : "Le rapport entre quoi et quoi ?") Entre Excalibur et le fromage gratiné. Réponse: Aucun. C'est une métaphore moisie tiraillée entre votre stupidité d'ordre général et votre surprenante inaptitude à utiliser les métaphores...
(A Dagonnet : Attendre... Attendre que les choses se désagrègent d'elles mêmes. Attendre que Kaamelott tombe en lambeau patiemment, pierres après pierres, chevaliers après chevaliers.
Attendre et se tenir prêts, prêts à se faufiler dans le moindre interstice "Ferme bien tes portes Arthur !" et là je suis en adresse directe pour créer un pallier d'intensité "Ferme bien tes portes Arthur ! Car nous essaierons toutes les issues! Et si par mégarde.." et là j'enchaîne sur une métaphore prédatrice "Si par mégarde tu oublies la petite lucarne, le renard saura se faire assez mince pour y passer !" Et là normalement il faut une citation latine mais Pfff.. J'en ai marre!
Attendre et se tenir prêts, prêts à se faufiler dans le moindre interstice "Ferme bien tes portes Arthur !" et là je suis en adresse directe pour créer un pallier d'intensité "Ferme bien tes portes Arthur ! Car nous essaierons toutes les issues! Et si par mégarde.." et là j'enchaîne sur une métaphore prédatrice "Si par mégarde tu oublies la petite lucarne, le renard saura se faire assez mince pour y passer !" Et là normalement il faut une citation latine mais Pfff.. J'en ai marre!
Vous entendez ça ? Il parait que je suis malpoli ! Qu'est-ce que vous en pensez bande de trous-du-cul ?
Moi, après deux heures de retard, j'ai passé le cap de l'agacement. Le peu de volonté que j'avais de me farcir une réunion avec ce débile de Dagonet a définitivement disparu. Je suis une sorte de meuble.
[À Galessin] Mais parce que votre existence est merdique mon pauvre ami, vous avez l'œil qui brille à chaque fois qu'un oiseau pète, c'est triste à voir. Ça fait des années que vous menez un train de vie de noix de St-Jacques, alors évidemment, un message qui annonce la visite d'un imbécile porteur de bonnes nouvelles, c'est déjà un petit festival pour vous ! J'suis sûr que vous vous êtes peigné pour l'occasion !
Euh, "Vous êtes là.", c'est-à-dire qu'il est surpris lui-même, ça lui viendrait pas à l'idée de raccorder le fait qu'on est là avec le fait qu'il nous l'a demandé.
Moi c'est comme vous sentez, j'ai eu deux heures à vide, c'est pas si souvent, je pense que j'en ai inconsciemment profité pour dresser un petit bilan.
J'ai soudain la sensation limpide d'avoir gaspillé ma jeunesse... L'avoir vue s'échapper de mes mains comme l'anguille effrayée et m'appeler à présent sur le lierre du tombeau, où patientent depuis toujours le chant des enfants, les raisins volés…
Je vais y aller, de jour, devant tout le monde. Et si je deviens roi de Bretagne, je vous nomme respectivement ministre des armes, et responsable de la protection des frontières. Parce que mon destin, c'est de m'entourer de nuls, de vrais nuls… Timeo libri rex agitur, ça veut rien dire, mais c'est ce que j'ai trouvé de plus… aigre !
(À Arthur) Avant de vous lancer dans les excès de virilité, vous auriez la curiosité de jeter un œil à la table du fond. Je suis venu avec quelqu'un qui veut vous parler... [Tavernier : Qu'est ce qu'on fait la?] Rien, y faut surtout pas s'en mêler. Comme quand deux chats sauvages se retrouvent sur le même terrain. Y s'observent et aucun des deux ne baisse le regard sous peine d'être saigné à blanc. Ce qui couperait court c'est qu'il y en ait un plus faible que l'autre, mais là c'est pas le cas. C'est les deux même sales bestioles, inflexibles, indomptables et vivaces. Y tiennent ça de leur mère! [Tavernier : De leur mère? vous voulez dire que c'est sa sœur ?][Arthur et Anna : Demi-sœur!] Ah! ça cause. Le dialogue s’amorce. Peut être que vous vous ferez pas dévaster votre boui-boui.
(À Anna) j'aime autant vous dire que quand une bande de détrousseurs embusqués nous tombera sur la viande, et qu'il lui prendra le goût de vous passer dessus en file indienne, je lèverai pas le petit doigt.
Missa brevis et spiritus maxima . Ça ne veut rien dire, mais je suis très en colère contre moi-même !