Les citations de Arthur Pendragon pour la saison Livre II
Les citations de Arthur Pendragon pour la saison Livre II
Citations par saison
- Kaamelott premier volet 7 citations
- Livre I 28 citations
- Livre II 36 citations
- Livre III 10 citations
- Livre IV 12 citations
- Livre V 8 citations
- Livre VI 7 citations
- Voir toutes les citations 118 citation
Ah, le printemps ! La nature se réveille, les oiseaux reviennent, on crame des mecs.
Vous croyez vraiment que vous avez les moyens de me convoquer ? Je suis là parce que j’veux bien… Et si vous m’avez fait déplacer pour rien, je vous balance quinze jours dans une cage sans boire ni bouffer et je me démerde pour que vous chopiez le typhus. Je vous écoute. (Perceval : bon, on va faire simple.) J'vous l'conseille, oui.
Il faut affranchir nos compagnons. Vous vous souviendrez ?
Quel tas de merdier... Non mais sérieusement, quel merdier ! Vous vous croyez où?
Décarre tes troupes de chez moi ou j'crame ton pays. C'est assez simple comme vocabulaire ?
(À Perceval) Arthur, le dragon, Arthur... Y a rien qui gigote là-dedans ?
Vous, vous devriez arrêter de sourire. J'vous promets; ça devient vraiment malsain.
Quand vous voyez des gadins de 15 pieds de haut, plantés en rond, figurez-vous qu'ils ont pas poussé dans la nuit.
Vil félon, où as-tu dissimulé le Graal Sacré ?
Dans ton cul !
Tu paieras pour cet affront !
Dans ton cul !
Tu paieras pour cet affront !
Non mais regardez. Maintenant que j'ai enlevé le mie de mon pain, aaah ouh, Arthur ! Le Graal tu t'en iras quérir. Mam mam mam mam, mam.
Attention, l'ogre des collines !
Sire, nous voici a l’entrée de la grotte... Pied à terre mon fidèle Lancelot, le Graal est à portée de main ! Attention sire derrière vous ! Le chevalier noir ! Euheuh hrrr... inhin Arthur ta dernière heure a sonné... Vil félon, ou as tu dissimulé le Graal sacré ? Dans ton cul ! Tu paieras pour cet affront ! Tfftftfftfff brrrr... BRRR ! Aaahh... Victoire sire ! Le Graal enfin ! Il est vachement gros ! Attention il est pas du tout comme j’imaginais ! Sire écoutez, les villageois, ils vous acclament comme des villageois ! Vive Arthur, vive le roi de Bretagne, vive Arthur ! Hourraaa ! Hourraaa !
Au secours, au secours, appelez Merlin ! Merlin arrive, oaaaahhh, apparition inexpliquée, boule de feu boule de feu brrf brrf pffifff. Attention l’ogre des collines : bbhhheeuh, disparaissez de mes terres, périssez êtres inférieurs ! Catapuuultttttess catapuuultees catapuuullttes tirrrreeeezzz ! Pfrioou pfriouuu pfrioou pfriouuu pfrioou pfriouuu… (La servante arrive)
C'est bon vous pouvez débarrasser...
Au secours, au secours, appelez Merlin ! Merlin arrive, oaaaahhh, apparition inexpliquée, boule de feu boule de feu brrf brrf pffifff. Attention l’ogre des collines : bbhhheeuh, disparaissez de mes terres, périssez êtres inférieurs ! Catapuuultttttess catapuuultees catapuuullttes tirrrreeeezzz ! Pfrioou pfriouuu pfrioou pfriouuu pfrioou pfriouuu… (La servante arrive)
C'est bon vous pouvez débarrasser...
Fleur, unique, belle, vite ! J'ai besoin d'exprimer mon transport. (Guethenoc répond : Pour le transport, vaut mieux la brouette !)
Mais je vous emmerde, mon petit pote ! Vous commandez ce que je vous dis de commander et vous la fermez bien comme il faut !
Le plus intéressant, c'est, comment vous arrivez à faire un truc aussi immonde avec des ingrédients normaux ? [...] Mais c'est incroyable, j'ai l'impression de bouffer de la terre avec de la bouse et du gravier, ça sent le poulailler, mais c'est du céleri et des oignons, c'est prodigieux.
Une heure avant, je me dis toujours : « Tiens, je vais déjeuner avec Perceval, ça me fait plaisir ». [...] Ça vous la coupe, ça, hein ? Bon, après, une fois que j'ai bouffé avec vous, je regrette, hein, on est d'accord. Arrivé au milieu du repas, j'ai toujours envie de vous éclater le crâne avec le tranchant de la coupe, là, vous voyez, pour vous faire... fermer votre gueule une bonne fois pour toutes... mais sinon... je vous aime.
C'est parce que je cherche le Graal que je suis roi. Et du coup que vous êtes reine. Si je cherchais pas le Graal, vous seriez encore en Carmélide en train de torcher le cul des vaches dans une des fermes de votre con de père !
Mais je ne suis pas romain, merde !
( parlant tout seul, ivre) On y voit comme à travers un pelle là-dedans... Hé lumières !!! Pff bande de fainéants... Ah ça, pour roupiller, vous êtes fortiche (s'esclaffe) Les chevaliers de la Table Ronde... CHEVALIERS DE MES DEUX !!! Chuis p... chuis pas roi, moi ? C'est p..., c'est pas moi le roi ?! (dégainant Excalibur) Et ça, c'est du nougat ??? Tout seul, je vais le chercher le Graal, moi, et la vie éternelle, c'est pour bibi !!! Et vous, vous irez vous gratter !!!
(à Demetra) Vous savez quelle est la différence entre la chèvre et vous ? (Demetra, énervée : Je ne sais pas, mais je sens que ça ne va pas me plaire.) La chèvre elle a couiné cinq minutes ; vous, vous râlez depuis trois heures.