Les citations de Livre VI
Le top de la saison
- Loth d’Orcanie 13 citations
- Publius Servius Capito 8 citations
- Cæsar Imperator 8 citations
- Goustan 8 citations
- Arthur Pendragon 7 citations
Oui ... et tu veux les jeter où, tes épluchures ? ... en Germanie ?
Balance-moi tes saloperies, et radine sur le champs.
PARCE-QUE QUAND je dis TOUT l'MONDE ... ET BEN C'EST TOUT L'MONDE !
...
Tu es gentil.
Balance-moi tes saloperies, et radine sur le champs.
PARCE-QUE QUAND je dis TOUT l'MONDE ... ET BEN C'EST TOUT L'MONDE !
...
Tu es gentil.
Ah mais ouais... Ah mais bien sûr, les gars... évidemment... nan mais allez-y, c'est mon truc les bateaux moi, je connais à mort... Allez-y hein... J'balance un caillou dans la flotte, y'en à trente qui r'montent.
Ah ouais non mais attends, c'est du joli boulot là, les p'tits sacripants... Oui, sacripants, oui. C'est un terme un peu craignos. D'ailleurs, ben voilà, même craignos, c'est craignos. Mais c'est parce que je suis choqué ! Qu'est-ce que j'entends ? Tu demandes en mariage une personne âgée ? Et la p'tite Julia alors, dans tout ça ? Ah il faut que j'm'en occupe tout seul, c'est ça ? Ah très bien... Merci les p'tits fripons... Tiens, ça aussi, c'est un peu craignos, tu vois ? Mais c'est parce que là ouuuh ! Et bravo général, beau boulot ! Ah les pots cassés, c'est Verinus qui répare les pots cassés tout simplement... Ok d'accord, très bien...
Y a un truc, quand même, qu'il faut que vous compreniez bien les gars... Si vous voulez, moi, à la base... J'suis une balance... C'est le postulat de départ, on a devant soi, une balance. Donc une personne, si vous voulez, qu'on n'a pas besoin de cogner puisque elle vient elle-même délivrer l'information, sans que vous ayez même à la demander. Parce que non, pourquoi j'vous dis ça ? Puisque... on est quand même à une heure et demie de marrons dans la gueule là... Et si j'vous dis que je ne sais rien, c'est que je pense qu'effectivement...
(Procyon le frappe)
Pfff... je n'sais rien...
(Procyon le frappe)
Pfff... je n'sais rien...
Ben dis donc, j'sais pas c'que c'est, "la pire", mes p'tits cousins, mais j'peux vous garantir que, vu d'ici, ça fout les boules, hein... Ouuuh... Non, parce que, quand il a dit euh... plusieurs options, j'ai fait toute une série de p'tits pets comme ça, pou, pou, pou...
Allez, y'a plein de bruit, là ! Si ça se trouve c'est bourré d'oiseaux venimeux. Y'en a des rouges, des jaunes, des re-rouges et des pourpres ! Y bouffent que des noisettes et des escalopes de veau. Et quand ils vous donnent un coup de bec vous voyez une grande lumière et ça vous donne la diarrhée !
(à Arthur) Ouais en même temps ça vous a prouvé qu'on avait pas froid au ventre !
(Arthur : aux yeux!)
Comment ?
(Arthur : Aux yeux, pas froid au ventre.)
(Karadoc : Froid aux yeux ? Comment c'est possible ça ?)
Ben si, à la limite avec du vent… mais bon si on a froid aux yeux on les ferme !
(Arthur : aux yeux!)
Comment ?
(Arthur : Aux yeux, pas froid au ventre.)
(Karadoc : Froid aux yeux ? Comment c'est possible ça ?)
Ben si, à la limite avec du vent… mais bon si on a froid aux yeux on les ferme !
Nan mais je l'ai déjà impressionné, moi ! Je lui ai expliqué une nouvelle technique de combat : on se bat à moitié à mains nues, et à moitié avec du calcium. J'peux vous dire il faisait moins le malin !
(à Arthur qui vient de lui raconter longuement un rêve)
C'est vraiment chouette comme rêve... Moi l'autre nuit j'ai rêvé que Karadoc avait des pinces...
Arthur : (confus) C'est-à-dire?
Comme un crabe...
Arthur : Ah? Et qu'est-ce qu'il faisait avec ses pinces?
Il me pinçait le ménisque.
Arthur :(interloqué) Le ménisque?
Comparés aux vôtres, ils sont pourris mes rêves, ou pas?
C'est vraiment chouette comme rêve... Moi l'autre nuit j'ai rêvé que Karadoc avait des pinces...
Arthur : (confus) C'est-à-dire?
Comme un crabe...
Arthur : Ah? Et qu'est-ce qu'il faisait avec ses pinces?
Il me pinçait le ménisque.
Arthur :(interloqué) Le ménisque?
Comparés aux vôtres, ils sont pourris mes rêves, ou pas?
Qu'est-ce que c'est que quelqu'un qui souffre et qui fait couler son sang par terre pour que tout le monde soit coupable ? Tous les suicidés sont le Christ. Toutes les baignoires sont le Graal...
Ça fait une heure qu'on vous achète tout ce qui vous passe sous le nez ! Si jamais on vous attaque, les gardes peuvent même pas vous défendre parce qu'ils sont obligés de transporter vos saloperies !
Les rêves, ça se compare pas.
Je suis le Roi Arthur, je ne désespère pas. Jamais je perds courage. Je suis un exemple pour les enfants.
(à Lancelot) Dans cette tablette, vous avez les pleins pouvoirs. [Lancelot: Pardon?!] La forteresse de Kaamelott, le royaume de Logres, la fédération bretonne, la table ronde, la quête du Graal. C'est vous qui êtes en charge maintenant. [Lancelot: Je, je ne comprends pas...] Mais il y a rien a comprendre. Vous voulez essayer? Eh ben essayez. Voilà, c'est votre récompense pour m'avoir sauvé la vie: les pleins pouvoirs.
(à Lancelot) Vous vous souvenez de l'époque ou vous croyiez au même choses que moi? Parce que moi je m'en souviens. Vous savez ce qu'on va faire? On va faire comme si il s'était rien passé depuis.
Lancelot, vous êtes un grand chef ou pas? (Lancelot: Je, je crois oui.) Alors rappelez vous toujours de ça. Les grands chefs n'ont qu'un point commun. Ils ne se battent que pour la dignité des faibles.
Séchez vos larmes mon épousée, je m'occupe d'aller chercher ces petites salopes par la peau du fion !
(Parlant de la tentative de suicide d'Arthur)
Le sang qui vous manque, moi je l'ai vu, hein. [...] Le sang qui vous manque, je l'ai vu. Je dors avec ma mère maintenant, en Carmélide, toutes les nuits. Parce qu'à chaque fois que je ferme les yeux, je vois tout le sang qui vous manque par terre, avec vos coupures au poignet, et puis vos yeux vides... Alors, vous m'avez jamais avoué que vous vous étiez marié une première fois, hein, mais ça, vous me l'avez laissé voir. [...] Oh si, si, si, si. Y'en a, d'autres, hein, des moyens de se buter. Se jeter du haut d'une falaise, par exemple, ça, ça emmerde personne. Mais vous, c'est pas ça que vous avez fait. Vous vous êtes ouvert les veines dans un bain que j'avais moi-même fait couler.
Le sang qui vous manque, moi je l'ai vu, hein. [...] Le sang qui vous manque, je l'ai vu. Je dors avec ma mère maintenant, en Carmélide, toutes les nuits. Parce qu'à chaque fois que je ferme les yeux, je vois tout le sang qui vous manque par terre, avec vos coupures au poignet, et puis vos yeux vides... Alors, vous m'avez jamais avoué que vous vous étiez marié une première fois, hein, mais ça, vous me l'avez laissé voir. [...] Oh si, si, si, si. Y'en a, d'autres, hein, des moyens de se buter. Se jeter du haut d'une falaise, par exemple, ça, ça emmerde personne. Mais vous, c'est pas ça que vous avez fait. Vous vous êtes ouvert les veines dans un bain que j'avais moi-même fait couler.
Vous êtes arrivés dans un fameux merdier ! Des fourches dans le gras du cul, c'est ça que vous allez ramasser comme cadeau de bienvenue !