Les citations du Roi Arthur Pendragon
Les citations du Roi Arthur Pendragon
On se fait couper les deux bras, on revient vous voir et 5 minutes après on retourne se mettre sur la gueule ! Mettez-vous à la place des ennemis, c'est désespérant.
Non, moi j'crois qu'il faut qu’vous arrêtiez d'essayer d'dire des trucs. Ça vous fatigue, déjà, et pour les autres, vous vous rendez pas compte de c'que c'est. Moi quand vous faites ça, ça me fout une angoisse... j'pourrais vous tuer, j'crois. De chagrin, hein ! J'vous jure c'est pas bien. Il faut plus que vous parliez avec des gens.
Quand je viens vous voir, pour vous demander des trucs ; c'est l'enchanteur que je viens voir ; pour qu'il m'donne des solutions d'enchanteur : pas des combines à la noix ou des remèdes de bonne femme ! Vous êtes mon enchanteur, vous êtes pas ma grand-mère, OK ?
(À Guenièvre)La prochaine fois que vous faites venir un barde, je lui ouvre le bide de là à là, j'lui sors les boyaux et je file sa langue à bouffer aux chiens. C'est clair, ça ?
Ça vous fait pas mal à la tête de glandouiller vingt-quatre heures sur vingt-quatre ?
Oh, mais c'est pas vrai, mais vous allez m'gonfler jusqu'à quand ? Une heure que j'crapahute dans tout le château avec ma bougie, ça va bien, maintenant !
J'en ai rien à foutre ! Vous pourriez vous marier avec une chèvre si ça vous chante. Et puis, si y en a une qu'est d'accord, rappelez-vous qu'c'est inespéré puis sautez sur l'occasion.
Dieu ! Depuis qu’vous êtes arrivé - ça fait quoi, ça fait deux-trois ans à peu près, enfin j’veux dire deux-trois ans que le truc a bien pris, quoi, qu’les gens en parlent, tout ça - moi j’fais tout c’que j’peux pour mettre les gars au pas. La quête du Graal, le côté symbolique, la lumière, la salvation tout ça j’crois qu’c’est bien rentré. Parce que c’était pas gagné quand même. Moi les mectons d’la Table Ronde c’est pas des flèches, vous êtes au courant d’ça. Quand j’leur parle du Graal, eux ils cherchent un vase, et c’est marre. Si j’commence à m’lancer dans des explications comme quoi c’est pas l’objet qui est important mais le côté symbolique, le sang d’vot’fils, la vie éternelle alors là, les gars y me regardent avec des billes comme ça et puis y décrochent, ah hein, rideau ! Alors j’crois que c’qu’y s’rait pas mal, si on veut faire un peu avancer l’histoire, voyez, ça s’rait de faire péter un signe, mais un truc commak, hein. Parce que la Dame du Lac c’est bien gentil, mais euh, comme y a que moi qui peux la voir c’est pas très encourageant pour les autres. Non au contraire, quand y m’voient causer tout seul, y s’demandent si j’ai pas carrément tourné la carte. Alors voilà, faites c’que vous pouvez, quoi. J’compte sur vous. Donc euh… amen… enfin euh… deo gratias j'sais pu quoi… j’suis désolé j’ai pas eu le temps de potasser les formules.
(À Guenièvre)Merlin, i'sait déjà pas monter des blancs en neige, alors préparer une potion de polymorphie… Permettez-moi d'avoir des doutes.
Mais comment voulez-vous que j'vous prouve que j'suis moi, ça devient débile, à la fin !
De toutes façons, c'est ma mère, j'vais pas la faire tabasser par la garde.
Qu'est-ce que c'est, le Graal ? Vous savez pas vraiment ! Et moi non plus ! Et j'en ai rien à cirer ! Regardez-nous : y'en a pas deux qui ont le même âge, pas deux qui viennent du même endroit ! Des seigneurs, des chevaliers errants, des riches, des pauvres ! Mais, à la table ronde, pour la première fois dans toute l'histoire du peuple breton, nous cherchons tous la même chose : le Graal ! C'est le Graal qui fait de vous des chevaliers, des hommes civilisés, qui nous différencie des tribus barbares. Le Graal, c'est notre union. Le Graal, c'est notre grandeur.
J'suis chef de guerre moi, j'suis pas là pour agiter des drapeaux et jouer d'la trompette...
(À Perceval) Rangez moi ça, débile, la table ronde, c'est pas la fête de l'artisanat !
Au gros sel ? Qu'est ce que c'est que ces conneries ? Vous me prenez pour une épaule d'agneau?
Mais j'ai pas l'temps ! De faire de la broderie, maintenant ! J'vous dis qu'on est en train de se prendre une peignée !
Un jour je vais lui fumer sa gueule à ce connard !
Vous croyez vraiment que vous avez les moyens de me convoquer ? Je suis là parce que j’veux bien… Et si vous m’avez fait déplacer pour rien, je vous balance quinze jours dans une cage sans boire ni bouffer et je me démerde pour que vous chopiez le typhus. Je vous écoute. (Perceval : bon, on va faire simple.) J'vous l'conseille, oui.
Il faut affranchir nos compagnons. Vous vous souviendrez ?
Quel tas de merdier... Non mais sérieusement, quel merdier ! Vous vous croyez où?